« Sa » fait partie de la même famille que « son » ou « ses » et indique une possession » (C’est sa chaise à elle/lui.) On le retrouve souvent devant un nom ou un adjectif (Sa chaise, Sa belle chaise…). On peut le remplacer par un autre déterminant (Ma, Ta, La, Une…)
« Ça » quant à lui est un pronom servant à remplacer un nom (Ça commence = Ce film commence). On le retrouve généralement non loin d’un verbe ou d’un complément. On peut le remplacer par « Cela » (Je ne mangerai pas ça = je ne mangerai pas cela.)
Une théorie en neuroscience sur l’origine du fétichisme de pieds suggère que cela est dû au fait que les pieds et les parties génitales partagent la même partie du cortex sensoriel.
La règle du « masculin l’emportant sur le féminin » en grammaire n’existe que depuis le XVIIe siècle, alors appelé l’accord selon le « genre le plus noble ».
Les académiciens de l’époque ainsi que Beauzée un siècle plus tard justifient cela par le fait que le masculin est plus noble que le féminin à cause de la supériorité du mâle sur la femelle.
Avant cela, on utilisait plutôt la règle de proximité. C’est-à-dire que l’on accordait selon le mot le plus proche de celui à accorder (par exemple, « Cet homme et cette femme sont belles ») ou la règle d’accord d’importance où le sujet ayant le plus de poids l’emporte (La reine et ses sujets sont présentes).